60 ans de présence de la Famille Providence en Argentine (Caleta Olivia)

Cependant, sitôt arrivées à Comodoro Rivadavia, le 16 avril, Sœur Germaine-Thérèse (Germaine Bourgouin) et Sœur Laura-de-Jésus (Bernadette Deschênes) sont emmenées à Caleta Olivia, à quatre-vingts kilomètres au sud de Comodoro, pour qu’on leur fasse connaître l’hôpital régional qui est sur le point d'être inauguré et où on leur propose une nouvelle mission. Les sœurs s’en retournent ravies, et le Conseil général leur donne son approbation.

(haut) Départ des Sœurs Laura [de Jésus] et Marguerite [Patricia-Marie] de Comodoro Rivadavia pour aller travailler à Caleta Olivia [1963]. (BAS) Voyage de reconnaissance en 1962.

Cette semaine, nous voulons souligner le soixantième anniversaire de l’arrivée des Sœurs de la Providence en Argentine.

À la suite de la décision du Conseil général d’implanter la congrégation dans un nouveau territoire apostolique, six sœurs du Canada et des États-Unis se préparent à faire route vers l’Argentine. Le 16 mars 1963, elles sont accueillies par Monseigneur Carlos Pérez et autres autorités locales et reçoivent la mission de travailler à l’hôpital régional de Comodoro Rivadavia.

Cependant, sitôt arrivées à Comodoro Rivadavia, le 16 avril, Sœur Germaine-Thérèse (Germaine Bourgouin) et Sœur Laura-de-Jésus (Bernadette Deschênes) sont emmenées à Caleta Olivia, à quatre-vingts kilomètres au sud de Comodoro, pour qu’on leur fasse connaître l’hôpital régional qui est sur le point d’être inauguré et où on leur propose une nouvelle mission. Les sœurs s’en retournent ravies, et le Conseil général leur donne son approbation.

L’inauguration du nouvel hôpital a lieu le 12 juillet en présence de dignitaires et d’évêques locaux, et les deux sœurs sont prêtes à aborder leur nouvelle tâche. Pendant une certaine période, les sœurs doivent partager leur temps entre Caleta Olivia et la communauté de Comodoro Rivadavia où elles passent les fins de semaines. En 1964, une nouvelle équipe de quatre sœurs est affectée à cette nouvelle mission désormais appelée « Nuestra Señora de la Compasión » (Notre-Dame de la Compassion).

De nos jours, il n’y a plus de religieuses dans ces deux villes, et ce sont les Associées et Associés Providence qui font avancer la Mission et le Charisme des Sœurs de la Providence en demeurant fidèles à l’héritage de Mère Émilie Gamelin.*

Bureau de communications du CiP

* Source : Aventurières de l’ombre, Denise Robillard, 2001.